La Kundalini: feu sacré de vie et d’éveil intérieur

Entre science spirituelle et expérience vivante

“Certains lisent la Kundalini dans les livres. D’autres la vivent dans leur chair, leur souffle, leur silence.” La Kundalini est souvent décrite comme une énergie lovée à la base de la colonne vertébrale, une force primordiale endormie qui sommeille en chacun de nous, attendant le moment juste pour s’éveiller, lorsque l’être est prêt à accueillir la lumière et à se dépouiller de tout ce qui l’alourdit. Dans la tradition spirituelle, elle est représentée comme un serpent sacré, symbole de la vie, du feu créateur et de la transformation intérieure. Lorsqu’elle s’éveille, cette énergie remonte la colonne en activant au rythme de chacun les différents chakras.

Omraam Mikhaël Aïvanhov en parle comme de la “force des forces”, capable d’éveiller tous les centres subtils lorsque l’être est prêt, mais aussi de provoquer des déséquilibres si elle est mal dirigée. Omraam nous invite à la patience et à la pureté : “La meilleure méthode pour éveiller Kundalini, c’est de ne pas la chercher. C’est de vivre dans la lumière, dans la paix et la vérité. Alors, un jour, elle s’éveillera d’elle-même.”

Mon expérience personnelle de la montée de Kundalini

Ce jour-là, la nuit du 16 au 17 janvier 2025, mon corps s’est mis à bouger seul, en parfaite conscience. Je savais, au fond de mon âme, que quelque chose de sacré se déroulait. Des mouvements spontanés — des kriyas — apparaissaient, mes bras traçaient dans l’air des formes que je ne comprenais pas mais que je ressentais libératrices. Chaque geste, chaque respiration était porteur d’une onde de guérison. Je ne cherchais pas à savoir ce que je libérais, je le vivais, tout simplement.

Un flux d’énergie montait et redescendait le long de ma colonne vertébrale, pulsant jusqu’à sa base — ce point d’ancrage puissant. C’était un souffle vivant, j’étais ce souffle. Pendant plus de cinq heures, ce courant m’a traversée, sans douleur ni peur, mais avec une paix et une joie immense.

L’expansion de conscience

Ma conscience s’est mise à voyager. J’ai pu me fondre dans les éléments : ressentant la puissance du feu (purificateur, transformant tout en lumière) la douceur de l’eau (ondulante et guérisseuse), l’air (subtil et expansif, ouvrant à la liberté) et la terre (régénératrice).

Puis j’ai vécu une communion plus vaste encore, ma conscience a voyagé jusque dans un arbre percevant les réseaux subtils qui relient chaque arbre, chaque forêt, comme un grand organisme vibrant à l’unisson. C’était une expérience d’unité absolue, où la conscience humaine et la conscience de la nature ne faisaient plus qu’une. C’était une expérience d’unité totale : la conscience humaine et la conscience du vivant ne faisaient plus qu’un.

Chaque expérience de montée de Kundalini est unique. Certaines sont douces, progressives et lumineuses, d’autres plus intenses ou déstabilisantes.

Je tiens à préciser que je suis parfaitement équilibrée 😁. Je garde toujours un regard lucide sur mes expériences. Je sais qu’en lisant ces mots, cela peut sembler irréel à quelqu’un qui ne l’a pas vécu et c’est tout à fait normal. Pourtant, pour celles et ceux à qui un jour un tel éveil surviendrait, peut-être que ce partage offrira un repère rassurant.

Quand la vie s’éveille dans sa forme la plus pure

La montée de Kundalini n’est pas une quête de pouvoir, mais un chemin de dépouillement, un feu d’amour qui éclaire et consume tout à la fois. Chaque montée n’est qu’une étape : la force s’éveille par couches successives dans une danse intérieure où la matière et l’esprit se rejoignent.

La Kundalini est un mystère vivant, une intelligence de vie qui s’éveille lorsque le moment est juste. Elle n’appartient à aucune religion ni à aucune croyance : elle est simplement la manifestation du feu sacré de la conscience qui circule en nous tous.

Vivre une telle expérience, c’est se souvenir que nous sommes bien plus vastes que notre mental ou notre corps; c’est aussi une invitation à unir l’invisible et le visible, à faire de chaque expiration un pont entre la conscience et la matière.

Fanny – Ondelumineuse.ch

Observer les signes de la nature et des animaux

Depuis toujours, l’homme vit en interaction avec la nature. Si les anciennes civilisations observaient les étoiles, les animaux ou la croissance des plantes pour choisir l’emplacement de leurs villages, aujourd’hui encore, la nature continue de nous transmettre des indices. Ces signes, souvent subtils, révèlent la présence de perturbations énergétiques invisibles : failles telluriques, courants d’eau souterrains, nœuds du réseau Hartmann. Pour harmoniser ces phénomènes, l’accompagnement d’un géobiologue s’avère judicieux.

Nos animaux domestiques, comme les chats ou les chiens, ainsi que les insectes (fourmis, abeilles) et la végétation (arbres, gazon, plantes), réagissent à ces phénomènes. En apprenant à les observer, nous pouvons mieux comprendre les équilibres ou déséquilibres de notre lieu de vie. Cet article vous propose un voyage à la découverte de ces signaux naturels, avec une approche issue de la géobiologie.



Les animaux domestiques, sentinelles de l’énergie

Le chat, explorateur des zones perturbées

Contrairement à la plupart des animaux, le chat recherche instinctivement les zones où l’énergie est perturbée. Il agit régulièrement comme un petit guérisseur silencieux. Quand il choisit souvent la même place, ce n’est peut-être pas un hasard, il peut tenter d’apaiser une zone où l’énergie circule mal.

Conseil pratique : si votre chat dort toujours au même endroit, surtout sur votre lit, interrogez-vous sur la qualité énergétique de cet emplacement. Un géobiologue peut vérifier s’il s’agit d’un croisement perturbant.

Le chien, protecteur qui évite les perturbations

Le chien, au contraire, fuit les zones perturbées. Installez son panier sur un nœud tellurique et il le déplacera spontanément ailleurs. Les nomades, autrefois, observaient où leurs chiens se regroupaient pour installer leurs campements, preuve de leur rôle d’indicateurs fiables.

Observation : si votre chien refuse de dormir dans un coin précis de la maison, il se peut que cet espace soit perturbé par une faille ou un courant d’eau souterrain.

Les poules, lapins et autres animaux sensibles

Les poules et les lapins présentent une sensibilité similaire à celle des chiens : ils évitent instinctivement les zones perturbées. Dans un poulailler, si une partie reste déserte alors que le reste est occupé, cela peut être le signe d’une perturbation géobiologique.


Les insectes, révélateurs de points néfastes pour les humains

Les fourmis et les termites

Les fourmis choisissent souvent de s’installer sur un noeud Hartmann (croisements de résilles, rayonnement provenant du centre de la Terre). Bien que ces points soient considérés comme néfastes pour les humains, ils semblent être bénéfiques pour certaines espèces d’insectes.

Observation : Leur présence répétée à un endroit précis de votre maison ou de votre jardin est un signal à ne pas négliger. Si des fourmis reviennent sans cesse dans un même coin malgré vos traitements, cela peut indiquer une perturbation tellurique.

Les abeilles

Les abeilles sont aussi attirées par certaines zones telluriques. L’apiculteur attentif remarquera que les ruches prospèrent davantage lorsqu’elles sont placées près de zones énergétiquement actives. Cette sensibilité en fait de véritables alliées pour comprendre la géobiologie d’un terrain.

La végétation, miroir des forces souterraines

Les arbres

Un arbre dont le tronc se dédouble (voir photo ci-dessous) peut être l’indice d’une faille souterraine ou d’un courant d’eau. Ces anomalies de croissance témoignent d’une lutte permanente entre la vitalité naturelle et l’énergie perturbatrice.

Exemple: un arbre fruitier qui ne donne plus de fruits malgré vos soins peut indiquer une perturbation invisible.




Le gazon et les plantes

Un cercle sans gazon, qui persiste année après année, peut signaler une cheminée cosmo-tellurique, c’est-à-dire une zone où l’énergie circule verticalement entre la Terre et le ciel. Ces phénomènes créent des vides dans la végétation.

Comprendre les signes et agir

Observer pour mieux comprendre

La nature parle en silence : un arbre, un animal, un insecte traduisent souvent des réalités cachées que l’on ne soupçonne pas. Grâce à ma formation de géobiologue, j’ai appris à reconnaître divers signes et à les relier à des déséquilibres énergétiques invisibles. Là où une personne ne ferait pas le lien avec une perturbation invisible, je perçois un indice précieux qui peut être confirmé et résolu par une expertise suivie d’une harmonisation. Mon rôle est d’écouter ces messages de la nature et d’agir pour rétablir l’équilibre et soutenir le vivant.

Conclusion

La nature, les animaux et la végétation nous adressent des signes subtils qui révèlent souvent des zones de perturbations telluriques. En tant que géobiologue, mon rôle est de mettre en lumière ces phénomènes et d’agir avec des solutions concrètes pour vous aider à retrouver un environnement sain et apaisé.

Si vous remarquez des signes dans votre maison, votre jardin ou auprès de vos animaux, c’est peut-être le moment de demander une expertise géobiologique afin de restaurer l’équilibre énergétique de votre espace.

Fanny – Ondelumineuse.ch